Carte de la Cathédrale de San Paul

             L'Église de la Cathédrale de San Paul fut élèvée sur la chapelle antique Sanctu Paulum at Averse et occupe le côté oriental de la place d'en face, dans la forme d'un entonnoir, une région de son cimetière antique et ombelicus du centre antique. Dans le [architrave] du portail du nord de l'église l'écriture indique le period de construction du transept grand et des domes:

+Princeps Jordan(us) Richardo Principe natus.
quae Pat
(er) incaepit p(rius) haec implenda recaepit.

Une écriture plus est localisée dans la porte principale:

Vultu iucundo Roberto dante secundo
Pulcra sit haec extra satis intus et ampla fenetra.

             L'église, initié par Rainulf an 1031, et complétée par Robert II en 1127, plus grand que la Cathédrale de Naples et Capua, a subi des ré-arrangements et métamorphose qui ont changé irréparablement l'apparence originale: partie de la tour-lante du dôme central, avec les deux ordres d'arcade fausse, a été reconstruit dans le XIII siècle; une des quatre boiseries du hélicoidal, celle du pilier droit de l'entrée; la cloche adjacent au dôme central, écroulé, a été reconstruite à droite de la façade sur une autre tour de la cloche dans le XV siècle.
            La région en face du grand transept et le presbytère fut complètement refaite de 1703 à 1715 pour le souhait du Pourpre Innico Caracciolo, par l'architecte Carlo Beratti, qui absorba soi la structure antique des nefs dans la grands piliers rectangulaires, et, dans le presbytère, la fermeture des arcs qui introduisaient dans l'ambulant.
            De la structure de l'église l'
ambulant, composé de sept durées avec des voûtes de la côte de la croix, i est le seul exemple complet en Europe de tel thème et, peut-être, le plus antique de ceux quii sont connus; les chapelles radiales, en origine, n'était pas trois mais cinq. Des deux qui manquent celle de la gauchefut démolie pour la construction de l'escalier d'honneur du séminaire, l'autre fut fermée.
            La datation de l'usine n'est pas distant de St-Martin de Tournées en Normandie. La classification est typiquement normanne puisque a ceux-ci fut attribuée l'église de Notre-Dame de Jumiéges (1037-66), la cathédrale de Rouen (XII sièc.), et peut-être aussi l'Abbatial de Bernay (1017-55), tout semblable à notre San Paolo.
            En 1630 l'église commença à perdre le diagramme antique pour l'apparence du Tempietto de Loreto, vouylu par l'évêque Carafa. Les ré-arrangements du XVIII siècle donnèrent l'apparence réelle, entre baroque et neoclassique.
            De l'importante et notable patrimoine artistique de l'église on rappellent, le tableau très fin de la
Confraternita du Gonfalone de Santal Maria degli Angeli, la Vierge et San Bonaventura (1710), par Francesco Solimena.

            Il s'agit duchef-d'oeuvre authentique connu pour avoir été modèle pour plus de parutions, aussi du même artiste; le beau tableau de l'Adorazione du Magi par Cornelis Smet suit, composition exceptionnelle intéressante pour la variété des contrastes dde couleurs. Dans la Chapelle du Chapitre on trouve, sur les murs, la fresque de la Cacciata du Tempio par Eliodoro, une copie de Raffaello, sur la voûte, les Storie de la Vierge et prophètes, par Francesco Antonio Altobello de Bitonto et, sur l'autel, un tableau de la Madonna avec Bambino, les Saint Pietro et Paolo et l'évêque Carafa, un tableau possible par Michael Regolia (XVII siècle), qui reproduit une vue d'Aversa avec la Cathédrale et la nouvelle tour de la cloche avec le pinacle.


Deambulatorio (c. 1031-32)

 
Stipite, Chevalier avec dragon ( c. 1031-1032)

            Dans la Chapelle des Reliques (1637) il y a des fresques du dix-septième siècle, manuscrits et inscriptions: dans la voûte Gloria de la Foi, dans les lunettes le Dieu Père et anges musiciens, tandis que, sur le mur sur le fond, la Madonna avec Bambino et une statue en bois de San Paolo du XVII siècle. Dans les partitions variées des murs, autre aux nombreuses Reliques, en 207 reliquaires, parmi lesquels une épine de la couronne du Christ qui fleurit quand le vendredi sacré tombe au 25 mars, fête de l'Annunziata, les bustes argentés de San Sebastiano, San Giuseppe avec l'Enfant du dix-septième siècle et San Paul, de San Francesco d'Assisi et Sant'Antonio de Padova, du dix-huitième siècle sont déposés; tous nommés Petits Protecteurs de la ville en 1693.
            Dans le grand transept - celui petit correspond aux chapelles des reliques et du Sacrement- est mis un
autel classique marmoréen avec les soulagements de l'Annunciazione, les saints Pietro et Paolo, la Trinità, et un manteau de bras des Lucarelli. Le travail a une grande valeur du fin travail fait par Salvatore Caccavello. Sur l'autel central un grand tableau avec le Martyre de San Sebastiano, par Paolo De Majo. Auparavant les restaurations du dix-huitième siècle à l'endroit de l'autel il y avait la porte australe de l'église. Il y a, en plus, un groupe en bois du dix-neuvième siècle, Tobiolo et l'Ange Raffaele. Sur le côté gauche il y a un beau tableau, la Crucifixion et Santo Stefano (1452), par Giacomo Andrea Donzelli, peintre Aversan.
            Dans le presbytere il y a le
trône marmoréen (1493) qui jusqu'a quelqu'il y a quelques années était orné encore avec des autres deux anges qui, avec celui a gauche, symbolisaient les trois églises sur qui s'éleva la chaise d'Aversa; aux cotés les impasses en bois et, dans le fond, l'autel et la cona marmoréen par Luigi Vanvitelli. Sur l'autel un tableau fin, avec amples casses et images enveloppées, la Conversion de San Paolo (1642), par Carlo Mercurio. Dans la voûte un cycle de fresques avec épisodes de la vie de San Paolo par Camillo Guerra (1857-58).

            Les murs de l'ambulant étaient en origine peints, comme quelques morceaux peints encore en situ démontrent; la Madonna sur le trône avec l'Enfant de la première durée gauche (deuxième demie du XV siècle).
            Devant on peut admirer le beau
portail marmoréen des hebdomadaries avec une lunette et protomi humains (XI siècle). Celui, avec des capitaux et avec les deux soulagements des chambranles du portail principal, représentent le patrimoine le plus éloquent de l'église originale. Le soulagement antérieur représente un Cavaliere ou, selon quelqu'en, St. Georges et le dragon, tandis que le dernier, un Éléphant, deux lions placés côté par côté avec des guirlandes circulaires.
            Parmi ces panneaux il y a un petit soulagement de St. Gerolamo dans le désert (XVI secle) et le grand tableau attribué à James Farelli sur la Conversion de San Paul. Devant, parmi deux chapelles radiales, il y a la pierre tombale imposante de l'archevêque Balduino de Balduinis, du seizième siècle, et, peu loin, sur le mur opposé, celle par Georges Manzolo, de 1591. Parmi les monuments il y a la chapelle centrale, plus ample que les autres, où, sur l'autel, il y a le tableau de la Transition de la Vierge, attribué à Polidoro da Caravaggio et, sur le plancher, la couverture tombale du chanoine Paolo Merenda, de la fin du siècle seizième. Sur les autels des autre chapelles il y a: un tableau sur la table du Dormitio Virginis, par un peintre inconnu d'Aversa, au commencement du XVI siècle, la table de l'amende de la Réunion des Saints Pietro et Paul (1577), par Giovan Battista Graziano, peintre maniériste d'Aversa, et le triptyque avec St. Michele Arcangelo, aux côtés, St. Giovanni Battista et San Giacomo et, dans la lunette, le Madonna con il Bambino (1495), par Cristoforo Faffeo. L'inscription de cette table nous nous rappelle que l'Associazione dei Calzolai dans notre ville est primordial. Sur le côté opposé de l'ambulant nous devons considérer le tombeau par Luca Prassicio, philosophe d'Aversa du quinzième siècle; la partie inférieure du bloc fut faiteabraser par le théologien Gaetano De Fulgore parce que l'écriture voilait la gloire du philosophe, qui serait arrivé a refuser la Résurrection des morts et la fin du monde.
            Dans la partie opposée du grand transept sur l'autel on trouve le Crocifissione (1770). Les cuvettes absidales des chapelles du grand transept, fermées pendant les restaurations du dix-huitième siècle, sont décorées avec fresques par Carlo Mercurio; dans celui de droite est gardée une statue en bois de San Sebastiano (XVI siécle).
            La Cappella Lauretana fut faite élever par Charles Carafa en 1630, sous la direction de l'architecte Giuseppe di Majo d'Aversa; cette chapelle garde des fresques d'un certain intérêt, la Moltiplicazione dei pani avec Jésus et les Apôtres, le Buon Samaritano et, en haut, l'Incoronation de la Vierge avec des anges et Prophètes, attribué à Carlo Mercurio. Parmi les ex-votes il y a une balle de pistolet offerte par Giulio II quand, en 1517, le pape fut indemne du siège de Mirandola et une brique de la Casa Santa, cadeau par l'évêque de Coimbra, Giovanni Suarez,en 1562 à Pio IV. En autre dans la Casa de Maria il y a la partie restante d'une poutre , tandis que les deux pierres vient du feu de Candia. Sur l'autel la Madonna col Bambino revetu de porcelaine de la fin du XVII siècle.
            La Chapelle du Sacramento conserve la pierre tombale précieuse d'Innico Caracciolo pourpre de 1736, faite par Paolo Posi de Siena et par Pietro Bracci après les tableaux par Phillip Barigioni; dans l'ovale portrait de Caracciolo par le Cav. Cristofari après le tableau par Antonio David. Belle est la statue marmoréenne de la Célébrité et puissant est le lion du de bronze qui surmonte le sarcophage. Devant, un tissu de l'Adoration des Magi par Federico Barocci, tandis que sur l'autel, dans le rond, Jésus distribue le Pain consacré aux Apôtres. Dans la chapelle suivante très beaux Crucifix de bois (XIII sièc.) de styles calatales sur un tissu de la demi du XVIII siècle. Dans la chapelle suivante l'Apparizione de la Madonna di Loreto, de 1717, par Nicola Mercurio, le SS. Trinità avec San Ranieri par Aniello Rossi et les Épisodes de la vie de San Ranieri. Dans la seconde chapelle il y a trois tableaux par Aniello Rossi, le Matrimonio della Vergine et, sur chaque côté, le Fuga en Egitto et le Dubbio di San Giuseppe; dans la dernière chapelle, la Predica Sainte Caterina d'Alessandria et le Matrimonio Père Noël du Caterina par Paolo De Matthejs et le Père Noël du Martyre Caterina (1589), par Giovan Battista Graziano.
            Entre la nef gauche et centrale il y a le Font baptismal et, sur les piliers latéraux, deux bénitiers marmoréens (XVII siècle) par Francesco Maggi disciple de Joseph Sammartino, surmontées, celle à droite, par la représentation de l'Infermo qui plonge dans les eaux de la Piscine probatique, et sur la gauche, Moses qui fait jaillir l'eau du roc.

Crucifix en bois (1250)
Reliq.de l' Êpine (XVII siècl.)
Not-Dame. (1710), F.Solimena
Mon.Caracc.(1736),F.Barigioni
Tem.de Loreto (1630),G. Di Majo
 
Retourn a la page un
Patrimoine artistique-monumental